Des équilibres
La ville, on la baignerait largement de lumière, de celle des astres ou de celle d'une invention. Ah ! On l'inonderait la cité. Et dans les lieux où l'ombre l'emporterait on n'irait pas, surtout pas. Au jour déclinant les enfants verraient le soleil se coucher sur ses hautes tours polies, insolentes pourtant. Puis on la regarderait se parer des feux et sons de la nuit. On aimerait que ce ne soit pas ainsi.